Gérer sa grossesse lorsqu’on est une femme handicapée

Toutes les femmes désirent un jour être maman. C’est également un des rêves des femmes en situation de handicap. Dans la majeure partie des cas, la situation est possible, mais pas toujours anodine. Tout dépend de la pathologie. Par bonheur, quelques mesures sont créées pour assister ces femmes.

Une parentalité envisageable pour les personnes en situation de handicap

Pendant longtemps, la communauté a mal vu le fait que des femmes infirmes puissent devenir mères. De nos jours, la situation avance plus positivement. Mais le fait d’être parent ne caractérise toujours pas une primauté pour la société ni des organismes d’individus handicapés. Aucune assistance spéciale n’est envisagée pour assister les mamans handicapées à s’occuper de leurs poupons. Même si les grands centres hospitalo-universitaires les reçoivent souvent, en France, il n’existe aucune maternité s’occupant exclusivement de ces femmes. Mais, c’est vrai que la gestation des femmes en situation de handicap ne présente pas un haut risque. En effet, porter un enfant n’est pas dangereux pour une femme en situation de handicap, tant que son handicap n’a pas de conséquence sur le fœtus. Lors de sa grossesse, la femme devra être bien suivie.

Bien programmer sa grossesse

Le droit de constituer une famille est un droit reconnu par la communauté internationale. Si avant, s’occuper des enfants, faire les courses étaient autrefois compliqué, grâce aux fauteuils roulants électriques de chez http://www.acekare.com, cela n’est plus du domaine de l’impossible. Désormais, le handicap moteur n’est plus un obstacle pour la parentalité. Bien évidemment, une telle grossesse se prépare et se planifie étant donné qu’il ne s’agit pas d’un processus tout à fait normal. Avoir recours à un spécialiste rééducateur est recommandé en cas d’incapacité moteur. Ce dernier connaît parfaitement le problème comme les obstétriciens et il pourra les assister à s’occuper de cette grossesse insolite. Autre urgence : dénicher le spécialiste de santé qui va suivre et faire le choix de l’institution où enfanter. Ce n’est pas facile, car il n’y a pas de dossier officiel répertoriant ces facteurs. De surcroît, la majeure partie des maternités restent difficilement accessibles aux chaises roulantes et peu de gynécologues possèdent des tables élévatrices pour contrôle gynécologique, vitaux chez la majorité des femmes en fauteuil.